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La décision d’intégrer un cobot repose souvent sur une réflexion d’optimisation de la ligne de production, aussi bien en termes de productivité que de coût de fonctionnement. Pour que cette installation soit optimale, il est essentiel de la préparer et d’anticiper les freins possibles. Découvrons ensemble les bonnes pratiques qui permettent de bien intégrer un cobot.
Pourquoi intégrer un cobot dans sa ligne de production ?
Les avantages d’un cobot dans une équipe de production sont tellement nombreux que de plus en plus de sites de production en bénéficient. Le cobot permet d’abord de réduire considérablement les survenues de troubles musculo-squelettiques et les accidents de travail chez les opérateurs. Délestés des ports de charges lourdes, des gestes répétitifs, ils sont désormais valorisés en étant alloués sur des tâches qui demandent davantage de compétences. Le cobot ne remplace pas l’humain, mais l’assiste dans les tâches les plus difficiles.
Le cobot permet de se passer de cage de protection, indispensable avec les robots traditionnels. Ainsi, en intégrant un cobot, la ligne gagne en espace, mais aussi en productivité : le poste du cobot n’est pas fixe et il peut être facilement déplacé et programmé via l’interface homme/machine, chaque fois que nécessaire.
Un cobot permet d’atteindre plus simplement et plus rapidement de nouveaux objectifs de productivité. Il prend peu de place au sol, ne nécessite donc pas de réorganisation profonde de la ligne, atteint son seuil de rendement assez vite et permet d’augmenter la cadence de production sans demander d’efforts supplémentaires aux opérateurs.
Enfin, l’intégration de cobots dans une ligne dans une ligne de production permet de valoriser la marque-employeur de l’entreprise et d’attirer davantage de candidats au recrutement.
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Quels sont les freins à la bonne intégration d’un cobot sur une ligne ?
Plusieurs freins peuvent apparaître lors de l’intégration d’un cobot dans une équipe de production. Le premier facteur de ralentissement provient des besoins mal évalués et d’une intégration mal préparée. La fonction n’est alors pas clairement délimitée et les opérateurs n’en comprennent pas forcément l’intérêt. La solution cobotique n’est alors pas pleinement utilisé. La sécurité des opérateurs doit être assurée, le cobot ou son outil ne doit pas blesser .
Une communication interne inefficace entre les équipes et la direction peut également générer des incompréhensions et ralentir la bonne intégration du cobot. Lorsque les différentes étapes ne sont pas transparentes, l’installation d’un robot collaboratif peut produire de la méfiance chez les équipes de production.
Un mauvais accompagnement ou une installation incomplète par l’entreprise prestataire ne permet pas d’optimiser la mise en place d’un cobot et donc d’atteindre les objectifs définis.
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Comment favoriser l’intégration d’un cobot ?
L’intégration d’un cobot dans une équipe de production peut tout à fait être rapide et simple. Il suffit de remplir quelques conditions.
L’implication des équipes qui seront au contact avec le robot est indispensable, dès la première phase de réflexion. La communication interne nécessite d’être fluide pour que les échanges permettent de faire émerger les questionnements, les appréhensions, mais aussi de tempérer les doutes et les inquiétudes. Les opérateurs accueilleront d’autant mieux le cobot qu’ils sauront la nature de la collaboration avec la machine.
Les objectifs de l’intégration du cobot doivent être clairement définis, de manière mesurable. Différents temps d’échanges peuvent être programmés avec les équipes afin de recueillir les premières impressions, en vue d’éventuels réajustements.
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Pour une intégration aisée, l’accompagnement par un prestataire de qualité est une condition sine qua none. Présente dès les premières étapes de réflexion, l’entreprise fera profiter de son expertise en guidant le site de production dans l’intégration du cobot. Un intégrateur viendra l’installer et former les équipes. Une observation lors du premier jour de déploiement permettra également de rassurer les équipes, de réajuster certains réflexes et de répondre aux premières interrogations après le premier contact avec le cobot.
